Peut-on véritablement construire une souveraineté numérique tout en confiant pendant six années supplémentaires les données publiques à des entreprises soumises à un droit étranger ?
La réponse du Conseil fédéral du 19 novembre 2025 à une interpellation d’un conseiller national mérite une analyse approfondie, d’autant que Privatim vient de qualifier d’inconstitutionnelle la pratique actuelle consistant à confier des données sensibles à des prestataires étrangers.