En septembre, c’était la deuxième fois que je rencontrais Pierre Bordage et que je discutais avec lui de l’écriture de nouvelles. Il m’avait l’air particulièrement fatigué.
À la fin du festival, au moment de partir, mon épouse m’a murmuré : va dire au revoir à Pierre Bordage, tu n’auras peut-être plus l’occasion de le faire. Ne fait pas comme avec Philippe Curval !
Elle avait raison.
Merci Pierre pour toutes ces nouvelles et ces romans, merci d’avoir tracé la voie de la SF francophone.